Jules et Robin

LES PORTRAITS DE LA SEMAINE :

«Jules, pierre, feuille, SICOT» et Robin alias «Bibi la frime»

LEURS PREMIERES ARMES Ils ont commencé ensemble en 1991-1992 à 5 ans en Ecole de Basket et le premier souvenir de Robin avec la balle orange «c’est un match contre la Saint Médard et mon frère Paul faisait partie de l’équipe ». La génération 86-87 (Benoît TROTTIN, Victor DAVID, Alex LAUTIER, Colin CREACH, Jules SICOT et Robin RENAUD), est restée longtemps fidèle au club de l’ALPCM «Nous avons eu la chance de poursuivre notre formation avec les mêmes coaches, sans changement tous les ans comme on peut voir aujourd’hui. Thierry CARRIERE, Alain TROTTIN (14 bonnes années !) et Manu FERRE» Des souvenirs glanés sur les différents parquets, ils en ont ! «Cinq finales Région !, les Tournois internationaux, etc » Pour Jules le match mémorable, c’est «un match minimes 2^ème année contre Saint Laurent de la Plaine où l’on gagne sur le score 166 à 46 et où la table avait été obligée de chercher une deuxième feuille pour marquer les derniers points inscrits !… »

L’EQUIPE PREMIERE Robin évolue en SM1 depuis déjà 4 ans et demi : « J’étais cadet 3^ème année et on jouait en N3 » Jules a rejoint l’équipe depuis 2 ans et demi. Si les résultats escomptés ne sont pas là, ils confirment tous deux avoir «un super groupe, solidaire, qui travaille bien. Il y a peut être un manque d’expériences, il y a eu du changement, il faut un temps d’adaptation c’est un travail sur plusieurs années. C’est une poule difficile, ça se tient dans un même mouchoir. On constate avec plaisir qu’il y a plus de public que l’année dernière et on est soutenu.»

LA VIE EXTRA BASKET Toujours étudiants, Jules et Robin ne sont pas vraiment fixés sur leur avenir mais devront sans aucun doute s’orienter, à l’image de Colin actuellement à Dusseldorf, sur une année internationale : 3^ème année de fac d’Eco pour Jules, un BTS Commercial (négociation relations clients) pour Robin avec des examens importants en mars Leur préférence en matière de film : «Fight club avec Brad Pitt» selon Robin et « Pulp fiction » l’incontournable Tarantino pour Jules. Musiques, c’est plutôt funk pour ce dernier et Jean Jacques Goldman pour Robin. Une devise ? «Bad boy for life» déclare Robin et «Respect et robustesse» selon Jules.

LEUR AVENIR BASKET «NBA» bien sûr pour Robin ! Et plus sérieusement, et cela vient du fond du cœur, pour Jules : «ni coaching, ni arbitrage ! » ça a le mérite d’être clair ! même si ils gardent tous deux de bons souvenirs de l’école d’arbitrage… «Jouer le plus longtemps possible» concède finalement Robin. «J’aimerais bien gérer un club de basket» avoue Jules après réflexions, comme quoi tous deux, quelles que soient leurs orientations professionnelles, continueront longtemps à arpenter les salles de basket…